19 aout

Depuis 06h00 nous suivons en temps réel le parcours des filles dans le ciel brésilien !

09h15, l’avion est posé, les filles sont là … sans leurs bagages restés à Sao Paulo.

Tout à la joie de nous revoir, nous écoutons un peu distraitement ou naïvement le chargé de clientèle nous expliquer en anglais fortement connoté portugais, que tout est sous contrôle et que les deux valises arrivent den début d’après-midi !

En l’attente, séquence photo de stars dans le hall de l’aéroport tout pavoisé aux couleurs des JO.

Après un passage rapide par l’hotel, nous célébrons la fin du tour du monde en « solitaires », le début de nos vacances « familiales » au Brésil et les 20 ans des princesses dans "le" restaurant brésilien du quartier, churrascaria et rodizo…

Caïpirinha, un excellent buffet de salades + viandes grillées à volonté…. Le service stoppe lorsque les tickets sont retournés sur leur côté rouge !

Le tout à profusion et d’une qualité exceptionnelle !

Pour se remettre de nos agapes et en attendant les valises, un peu de marche sur la plage de Botafogo.

La vue est superbe, à l’exception d’un nuage qui s’obstine à couronner le pain de sucre !

Nous nous sommes tous mis à souffler dans le même sens pour le faire partir !

Récompensés de nos efforts et de notre patience, nous avons enfin droit à l’intégralité de la montagne.

De retour à l’hotel, toujours pas de bagages, il faut se résigner à ne pas les recevoir avant demain matin avec pour conséquence pour les filles, de ne pas pouvoir assister à la petite finale de hand masculin, les billets étant restés en sécurité dans une des valises.

Un peu moroses et surtout fatigués, nous faisons le tour du quartier très animé à 21h00 ! C’est la « feria », les bars et les restaurants débordent sur les trottoirs pourtant très larges, les terrasses sont bondées, partout des grands écrans qui diffusent en boucle des images des JO, les clients arborent leurs couleurs nationales…

Ici, l’ambiance est à la fête, comme pour nous accompagner dans notre plaisir des retrouvailles, que ne sauraient gâcher le retard des bagages et la « perte » des billets !