Il fallait bien rentrer…..
J’ai trouvé les mots ci-dessous sur internet Il m'ont semblé particulièrement justes.
La beauté des îles évoque celle d’une jolie femme. Elle vous éblouit d’emblée
Quand on en découvre ensuite les imperfections, on va chercher plus loin pour trouver les charmes ignorés qui la rendent plus adorable encore.
Alors on peut aimer cette femme, on peut aimer cette île.
L’île Maurice ne possède pas seulement des plages et des lagons, mais aussi des montagnes étranges, des fleurs et des fruits tropicaux, des arbres indigènes et des oiseaux rares et surtout beaucoup de soleil.
Elle connait aussi parfois les fureurs des éléments et l’étreinte redoutable des cyclones.
Querelles d’amants dont le temps efface rapidement les traces dans une passion renouvelée.
Comme l'écrit le poète béarnais Jean Paul Toulet, l'île redevient vite et pour longtemps « Jardin qu’un dieu sans doute a posé sur les eaux Maurice, où la mer chante et dorment les oiseaux. »
Une île riche par sa nature, sa diversité culturelle, son histoire arabe, hollandaise et surtout française et anglaise avant de devenir indépendante et depuis des décennies indienne, chinoise, africaine, européenne… elle est de mille facettes qui font justement son charme.
Certes il y a encore des efforts à faire d’un point de vue environnemental, certains endroits peuvent être sales et hors des hôtels, certains quartiers sont défavorisés.
Cependant, le charme opère au quotidien.
Dans la chaleur de l’accueil des Mauriciens pacifiques et d’une gentillesse exemplaire, dans la douceur de l’accent créole, dans le naturel et l’ingénuité des noms, des villes, villages et quartiers très majoritairement en français tirés de nom propre Mahébourg en référence à Mahé de la Bourdonnais, Pereybère, en référence à un Monsieur du même nom venu du sud-ouest, dérivés d’une fonction d’un lieu, ou bien d’une caractéristique d’un emplacement : Roche Noire, Rivière Noire, Cap Malheureux, Pointe aux piments, etc..,dans la beauté des plages et des sites plus confidentiels à l’intérieur de l’île.
La météo ponctuellement perturbée pendant quelques jours ne nous a pas empêché de succomber.
Merci à Sindy et Jacques de nous avoir opportunément botté les fesses pour les rejoindre, merci pour leur accueil et le partage.